Une famille bernoise va tester la vie en Valais
Fin septembre, une famille originaire du canton de Berne s’installera une semaine dans le Haut-Valais pour une immersion dans le quotidien local. Ce projet pilote, lancé par Valais/Wallis Promotion, veut promouvoir le canton comme lieu de vie, et pas seulement de vacances.

À partir de la fin septembre, Simone, Remo et leurs deux enfants s’installeront pour une semaine dans le Haut-Valais. Leur objectif : découvrir concrètement ce que signifie vivre, travailler et élever une famille dans le canton. Cette immersion fait partie du projet "Tester la vie en Valais", développé par Valais/Wallis Promotion dans le cadre de la campagne "Vivre et Travailler en Valais". L’expérience sera filmée et diffusée sur les réseaux sociaux de l’organisme.
Pas un séjour touristique, mais un test grandeur nature
L’initiative ne se limite pas à des excursions : elle inclut des visites d’écoles, d’entreprises et d’institutions locales. "Par exemple, le papa, est professeur, il visite une école, il échange avec les professionnels de la formation pour savoir comment ça se passe en Valais", précise le directeur de Valais/Wallis Promotion, Damian Constantin. La maman, analyste biomédicale, sera accueillie chez Lonza et toute la famille pourra profiter d'une multitude d'activités que propose le canton comme Gianadda ou encore Barryland. Et tout cela sera pris en charge par Valais/Wallis Promotion, grâce à des partenariats avec diverses structures.
"Ce sont des partenaires valaisans qui trouvent aussi cette idée excellente et puis qui disent : si on peut participer pour faire de cette idée aussi une expérience unique pour la famille, on y participe", explique Damian Constantin.
Une vitrine pour le Valais
Pour Damian Constantin, le message est clair : "le Valais, ce n'est pas uniquement un canton touristique. C’est aussi un canton où il y a beaucoup d’industrie et de commerce, où on peut trouver du travail, du travail de haut niveau aussi. Et puis, les forces du Valais, finalement, ce sont aussi les gens, c’est la convivialité."
Le directeur espère pouvoir reproduire l’expérience : "c’est un pilote qu’on fait. Puis si ce pilote montre qu’on a du succès, c’est un projet qu’on aimerait bien reprendre aussi pour le futur." Et pourquoi pas dans d’autres régions de Suisse, selon l’accueil réservé à cette première édition..