Série de Noël (4/8) : Delphine Darbellay, victime d'insomnie à la veille de Noël
En sport, place au 4ème volet de notre série de Noël. Jusqu’au 31 décembre, huit athlètes valaisans nous parlent de leur rapport aux fêtes de fin d’année. Ce jeudi, c’est la jeune Delphine Darbellay qui se prête au jeu.

Quatrième épisode notre série de Noël dans laquelle huit athlètes valaisans nous parlent de leur rapport aux fêtes de fin d’année. En ce jour de Réveillon, c’est la jeune Delphine Darbellay qui se prête au jeu.
À 18 ans, la skieuse du Val Ferret a, contrairement à beaucoup d’autres sportifs, mieux terminé l’année qu’elle ne l’avait commencé. Il faut dire, sans mauvais jeu de mots, qu’elle était entrée du mauvais pied en 2020 en étant victime d’une fracture suite à un mouvement de foule le soir du Nouvel-An.
Vice-championne suisse de combiné
Privée des Jeux Olympiques de la Jeunesse de Lausanne, lors desquels elle se serait bien vue briller, la Valaisanne a fait son retour sur les lattes cet automne. Avec un gros résultat à la clé. Le 25 novembre dernier à Davos, elle se parait en effet d’argent lors du combiné des championnats de Suisse. Un joli cadeau avant l’heure pour celle qui garde plusieurs souvenirs précis de son enfance lors de la période des fêtes. «Il n’y en a pas un meilleur que l’autre mais je me remémore de notre impatience avec mes sœurs. Déjà un mois à l’avance, on se réjouissait de décorer le sapin et de vivre toute l’ambiance qui va avec. Et puis bon, c’est vrai que la veille de Noël, on avait beaucoup de peine à s’endormir», témoigne Delphine Darbellay.
«Très sincèrement, je ne peux pas vous dire combien de temps j’ai cru au Père Noël, mais ça a duré un petit moment oui.»Delphine Darbellay
Comme tous les petits enfants, la jeune skieuse a cru à la magie du Père Noël, bien qu’elle avoue avoir de la peine à se remémorer le jour exact où le mythe s’est effondré: «Très sincèrement, je ne peux pas vous dire combien de temps j’y ai cru, mais ça a duré un petit moment oui.»
«Pour des fêtes réussies, il faut qu’il neige et que l’on puisse aller skier»Delphine Darbellay
Et si elle ne croit désormais plus au Père Noël, Delphine Darbellay reconnaît que plusieurs ingrédients sont pour elle nécessaires à des fêtes réussies. «Déjà, il faut qu’il neige et que l’on puisse aller skier», explique-t-elle. «Et le soir, que l’on se retrouve avec la famille, tous ensemble, autour d’un bon repas et dans une bonne ambiance. Le sapin, les décorations, il faut que tout soit réuni.»
Pas de menu incontournable à Noël
Et chez les Darbellay, il ne semble pas y avoir de menu incontournable à l’heure des fêtes. «Non, pas spécialement. On varie assez bien d’une année à l’autre mais personnellement, c’est vrai que j’ai un petit faible pour la fondue chinoise qui passe toujours bien à Noël», conclut Delphine.
Les films de Noël
Pour. Moi j’aime bien regarder ça, en famille. Ca met bien dans l’ambiance mais bon, c’est vrai qu’il ne faut pas commencer trop tôt non plus.
Les sapins en plastique
Plutôt contre. C’est trop kitsch et artificiel.
Le vin chaud avec du blanc
Difficile à dire, je n’ai jamais testé. Mais avec le rouge, j’aime bien en tous cas.
Les pulls moches
Plutôt contre. Je n’ai jamais eu à en mettre pour recevoir mes cadeaux.
Les résolutions de la nouvelle année
Pour si on arrive à s’y tenir. Mais c’est vrai que c’est souvent compliqué.
Écoutez notre reportage sur Delphine Darbellay
