Police : Les réseaux sociaux... c’est « comme New-York » !
Cynthia Zermatten, porte-parole de la Police Cantonale Valaisanne était au micro de Malena pour nous parler d’un sujet brûlant d’actualité, les réseaux sociaux !
Les réseaux sociaux
La Police appelle à la prudence des parents concernant leurs enfants et adolescents qui commencent à installer les applications des réseaux sociaux sur leurs smartphones. Ils doivent être attentifs à cela et fixer des limites.
Garder le lien
Avec l’enfant ! Il y a des âges requis pour les réseaux sociaux, mais sans législations précises. Ce ne sont que des recommandations européennes qui font loi ! Selon la porte-parole de Police Cantonale Valaisanne, en tant que parent, il est important d’aller fouiller dans les paramètres des applications de manière à pouvoir bloquer certains contenus. Pour info, ces contrôles parentaux sont déjà offerts et disponibles pour la sécurité de leurs enfants.
Le danger
Chaque enfant peut tomber sur des contenus inappropriés et violents ! Pour Cythia Zermatten, les réseaux sociaux, c’est « comme New-York ». Il est possible d’y faire du shopping, d’aller voir des concerts et de participer à de belles activités, mais il y a aussi des rues beaucoup plus sombres.
Donner le bon exemple
Il est essentiel de fixer des limites dès le départ, et de ne pas reprocher à son enfant l’utilisation de son smartphone, si, en tant que parent, ledit téléphone est toujours entre les mains. Il est donc important de donner le bon exemple ! L’enfant peut ne plus avoir de repères et tomber dans le monde virtuel des réseaux sociaux. Attention de ne pas leur interdire ces plateformes, puisqu’elles sont un moyen de communication dans l'air du temps.
Le bon moyen d’agir
Et si malgré tout cet accompagnement et toute cette prévention le parent remarque que sur l’écran du smartphone de son enfant il y a quelque chose qu’il ne devrait pas voir, le bon moyen d’agir est avant tout d’en parler ! À plus forte raison si la violence est présente dans le contenu. Pour rappel : certains contenus tombent sous la loi pénale, comme la pornographie infantile et le « nude », et sont strictement interdits en Suisse ! De ce fait, il est recommandé de dénoncer ces infractions.